La malédiction
est désormais cadré et condamné à respecter des normes données pour son mieux vivre et jouir de sa liberté. Or, je ne peux concevoir une liberté à partir du respect des lois ou règles, si ce n’est que de l’aliénation. A vrai dire, celui qui s’affirme ou affirme sa liberté à partir du respect de quelque loi est dépendant de ce à quoi il se réfère. L’homme en effet, est esclave de sa pensée. Lorsque nous focalisons notre pensée sur un fait avec l’intention de trouver notre liberté à partir de celui-ci, nous sommes mentalement aliénés. L’aliénation étant source d’asservissement, de dépendance et d’esclavage, elle ne fait qu’engourdir la pensée et l’empêche d’émerger. La pensée dans sa quintessence se veut holistique et libre. Nous devons éviter de vivre des concepts car les concepts sont erronés. Nous devons vivre alors de la pensée. Les concepts n’ont par ailleurs de sens que chez celui qui les emploie. Cherchons du positif en toutes choses en donnant notre sens aux concepts. Le concept malédiction en question prend le sens que chacun lui donne. Je peux lui attribuer le sens de l’erreur, et cela m’amène à déduire que la malédiction est la mauvaise conception d’une chose, ce qui peut être rectifié ou corrigé. Même si le commun des mortels attribue un sens péjoratif aux concepts, concevez à votre niveau un sens positif et vous serez en partie sauvé des aliénations.

La malédiction
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On ne met nos articles que dans une seule catégorie et non cinq, pour éviter la confusion des genres, et pour celui-ci en philosophie, par contre on peut ajouter des mots clés (étiquettes) jusqu’à dix.
Wilfried : j’ai fait un essai d’ajout d’un fichier à télécharger (Projet-social-Bénin) à un article. Dire à Thibaut que ça marche. Il faut évidemment le présenter dans un design qui lui convient ensuite.